Les réseaux sociaux sont un bon plan pour qui veut avoir mal à la tête. Je n’y traine pas beaucoup mais pour une fois ce soir j’y étais. Et patatra, prise de bec au sujet de la cage, un des meilleurs sujets à aborder si vous voulez vous engueuler avec des gens qui aiment les chiens. La cage est tellement controversée que certains groupes Facebook interdissent d’en parler. C’est un peu la Voldemort de l’éducation canine. « Celle dont on ne doit jamais prononcer le nom ».

L’occasion pour moi d’évoquer non pas la cage, mais la notion de plan A et de plan B. On la trouve souvent en éducation canine mais pas que.

Cela arrive souvent sur les réseaux sociaux : vous posez une question sur une solution A et on vous répond avec une solution B. Et bien typiquement, ça me rend folle, et je vais vous expliquer pourquoi.

Quelques exemples de plan A / plan B

  • Je cherche une laisse lasso sympa, on me propose un harnais.
  • Je cherche un joli collier à martingale (qui se resserre), on me propose un harnais.
  • Je demande un modèle de collier électrique qui fait clôture, on me donne l’adresse d’une société de travaux.
  • Je cherche une pension familiale pour faire garder mon chien, on me donne un site de petsitters.
  • Je pose une question pour trouver une cage, on me répond d’aller voir un éducateur.

En lisant ces quelques exemples, parmi vous certains se diront que tous ces plans B sont remplis de bon sens et semblent avoir à cœur le bien être du chien. Et si vous aviez tort ?

Mais pourquoi le plan A, au fait ?

Souvent, quand on propose un plan B (je dit on car ça m’est arrivé de le faire moi aussi), on a tendance à oublier une chose : on ne sait pas les motivations de la personne qui demande.

Je vous dit laisse lasso, vous pensez étrangleur et vous répondez harnais.

Etes vous en train de penser que je souhaite étrangler mon chien ? Que nenni ! Ma chienne ne tire pas. Je veux impérativement une laisse avec deux stops (un qui bloque pour ne pas étrangler, l’autre pour que ça ne soit pas trop lâche). C’est juste pour les entrées / sortie de terrain dans mes activités, il me faut un truc qui s’enfile vite et qui s’enlève tout aussi vite. C’est presque indispensable pour certaines disciplines où le chien concoure nu et doit être remis en laisse en sortant de piste.

Je pourrais écrire sensiblement la même chose sur le collier à martingale (qui se resserre quand le chien tire). Ces colliers sont souvent utilisés comme étrangleurs c’est vrai, alors que normalement ils doivent être juste à la taille du coup du chien sans serrer quand ils sont réduits au maximum. Pour certains chiens ou certaines races, c’est le collier le plus approprié pour les attacher. Il est fréquent de ne pas pouvoir le remplacer par un harnais sur les lévriers qui ont la peau très fragile et finiraient tout irrités à la fin de la journée. Et on peut aussi en mettre un pour tenir la médaille ou pour que le collier soit essentiellement sans serrer le cou et donc moins abimer les poils (ceux qui vont en expo apprécieront). En fait bien utilisé la martingale c’est chouette 🙂

Je demande un modèle de collier électrique qui fait clôture, on me donne l’adresse d’une société de travaux.

Je sais qu’avec celui là, je vais faire hurler du monde. Mais à bien y penser, que préférez vous ? la châtaigne ou l’impact avec un camion ? J’ai moi même eu l’expérience il y a peu de temps : 4 mois sans clôture, et c’était le temps que le mur se construise.

En fait, un mur ou une clôture solide, c’est cher, ça prend du temps, et généralement ça demande une autorisation qui peut prendre jusqu’à deux mois. Entre le temps de choisir le type de mur, de demander l’autorisation de la mairie, de faire des devis, d’avoir les sous, de choisir un entrepreneur, qu’il ait de la disponibilité, que la météo soit clémente pour faire les travaux, ça peut durer plus de 6 mois. Et pendant ces 6 mois, il y a des risques pour les chiens.

Alors oui, ça s’apprend, ça s’éduque, y a des astuces. Mais imaginons qu’en plus du chien vous viviez avec quelqu’un qui ne fait pas attention en ouvrant les portes… et qu’il y ait une route avec pas mal de trafic devant ou pas loin.

Je déteste les colliers électriques. Ce sont des outil de tortures qui ne devraient être utilisés qu’entre adultes consentants. Cependant je préfère que le chien se prenne une châtaigne plutôt qu’une voiture lancée à 110 kilomètre heure. Ceux qui ont perdu un chien parce qu’une voiture l’a écrasé me comprendront. Bien sur, on mettra tout en place pour que le chien puisse savoir visuellement où est la limite. On pourra lui apprendre à ne pas aller au delà par des exercices et on essayera de toujours éviter que le chien ne soit tenté ou en mesure de dépasser la limite. En fait on couvre ses arrières tout en essayant de rester à 0 déclenchements du collier. Mais au cas où, on a anticipé.

Je cherche une pension familiale pour faire garder mon chien, on me donne un site de petsitters.

En France, la loi stipule que pour travailler de façon rémunérée avec des animaux, il faut être titulaire de l’ACACED ou du anciennement du certificat de capacité (CCAD). Moi, je l’ai, mais la majorité des petsitters sur les sites ne l’ont pas. Parfois ils n’ont aucune formation à part « j’ai eu un bichon quand j’avais 4 ans ». Pire encore, des petsitters peu scrupuleux cumuleraient plusieurs sites pour garder plus de chiens dans des conditions douteuses pour se faire le plus d’argent possible, et le tout sans rien déclarer.

Alors, merci, mais non merci. Si je dois laisser mon chien ça sera dans une pension déclarée, diplômée, familiale, pas en box, et avec des valeurs qui correspondent aux miennes.

Ohhhh mais attend Pascaline, si je te demande un site de petsitters, tu vas me proposer une pension familiale ? c’est pas un plan B ça ? Touché ! mais on en reparlera plus tard, promis.

Je demande une cage, on me dit d’aller voir un éducateur.

C’est le sujet de mon accrochage de ce soir. Mon ami a une magnifique chienne louve de 7 mois, dont la beauté n’a d’égal que la puissance de sa mâchoire. Il a demandé une cage parce que sa chienne détruit pendant ses absences, même si elles sont de courte durée. Sur son mur on lui dit d’aller prendre conseil auprès d’un éducateur et qu’il n’aura plus besoin de la cage, que la cage n’est qu’un « traitement succin ». Alors aller voir un éducateur, sur le principe, je ne peux pas être contre sinon je fais faillite. Sur la fin de la phrase en revanche, il y a beaucoup à redire.

Mon ami a déjà mis en place beaucoup de choses pour éviter les destructions : jouets à disposition, trucs sympa à mâcher, bonne dose de dépenses dans la journée, activités physiques et mentales (si vous voulez vous réincarner en chien, c’est une très bonne maison où atterrir). Il y a aussi des exercices de travail sur la solitude. Cependant, malgré toutes ces mesures, la chienne détruit toujours. Si on faisait venir un éducateur, il serait bien embêté car la plupart des suggestions qu’il aurait ont déjà été appliquées. Peut être même que mon ami aurait pu lui apprendre quelques trucs car il s’y connait bien en chiens.

Le but de mon ami : mettre sa chienne en sécurité le temps de lui apprendre à être à l’aise seule et à ne plus détruire. La cage n’est pas là pour régler le problème (la chienne ne se sentira pas forcément mieux en étant en cage lors de ses absences) ni pour masquer le problème (elle est misérable mais on s’en fou, elle ne peut plus rien dézinguer). Dans ce contexte, la cage est un outils pour s’assurer que la chienne ne va pas s’électrocuter, se faire une occlusion intestinale, s’empoisonner quand ils ne sont pas là. Il n’est pas fan de la cage, mais pour sa sécurité il pense qu’il n’a pas le choix. Et je vais le rejoindre sur le sujet puisque la demoiselle défonce aussi les portes et les barrières… A coté, il va mettre des choses supplémentaires en place. Il fera peut être venir un éducateur, mais ce sera en plus de la cage.

Il faut aussi assumer ce qu’on dit. Vous déconseillez la cage avec véhémence. Deux semaines plus tard le chien meurt empoissonné ou des suites d’une occlusion. Comment le vivriez-vous ?

Forcément, pour retenir la belle, il va falloir une cage solide et idéalement pas trop chère. C’est cela qu’il était venu chercher comme conseil. C’est ce qu’il aurait du avoir, à la place du plan B.

Qu’est ce que je dis quand spontanément je réponds B quand on me demandait A ?

Sur le fond

Pour faire simple, vous n’avez pas répondu à la question.

« Quel temps fait il demain ? » demanda-t-il. « On mangera de la salade » répondit son ami.

Dans cet exemple on pourrait se douter que la salade n’étant pas de la raclette, il se pourrait qu’il fasse beau et chaud. Mais en fait c’est peut être juste parce que c’est le jour du marché ou parce que la plaque de cuisson a rendu l’âme… va savoir. C’est un peu caricatural mais ça revient à peu près au même quand on répond à un plan A par un plan B.

J’ai entendu ta demande, j’ai considéré qu’elle n’était pas adaptée à ton besoin, je te propose donc autre chose. Sauf que vous n’êtes pas moi, vous n’êtes pas dans ma tête (heureusement pour vous) et vous ne pouvez pas savoir quels raisonnements m’ont amené à faire cette demande.

Cela peut être blessant. Mon ami ne cherche pas une cage de gaité de cœur. Directement il se prend une remarque lui disant que la cage c’est pas bon il faut un éducateur. Il pourrait entendre dans cette remarque qu’il est un mauvais maître, qu’il ne sait pas éduquer son chien, qu’il a mal fait les choses et qu’il est grand temps que quelqu’un vienne lui dire comment faire. Heureusement il n’est pas de ce genre, mais j’ai des amies plus sensibles qui auraient pu très mal prendre ce commentaire.

Sur la forme

On peut être bien intentionné et maladroit, j’en connais quelques uns. Au lieu de dire « je n’y connais rien dans tel produit mais je peux te recommander quelque chose d’autre qui pourrait répondre à ton besoin, est ce que ça t’intéresse », ils vont directement balancer « prends plutôt un ça, c’est mieux ». Rhhhhhhaaaaaa je les étranglerais. Sur place là directement. Je sais, il n’y a pas de mauvaise intention derrière, mais quand même.

Si en plus vous n’y mettez pas les formes, vos propos pourront être pris pour un jugement, une critique ou même une insulte. Et il y a de fortes chances que ça n’arrange pas votre relation avec cette personne.

Mais du coup, je dis quoi moi ?

Là je peux vous répondre car c’est mon quotidien. Posez des questions. Prenez le temps d’écouter la personne, de vraiment comprendre son besoin. Ne faites pas de conclusions hâtives ! Demandez à la personne dans quel contexte elle va utiliser la laisse lasso, pourquoi ce genre de collier… Si la demande ne vous parait pas en adéquation avec le bien-être du chien, échangez pour comprendre ce qui motive la personne à faire ce choix. Souvent, la personne en saura assez pour savoir ce qui est bon pour elle et peut-être même que vous apprendrez des choses en l’écoutant. Parfois, il faudra effectivement compléter avec un plan B ou alors passer directement au plan B, mais vous pourrez le proposer avec plus de douceur.

Exemple de la laisse lasso utilisée en étrangleur pour que le chien arrête de tirer

« Comme je te comprends, moi aussi je n’en pouvais plus quand Rex était ado, mais j’ai lu un article qui parle des méfaits des colliers pour la santé du chien et j’ai découvert des harnais qui font des merveilles pour arrêter de se déboiter faire déboiter l’épaule, veux tu en essayer un ?  » Souvent, les harnais anti traction, les essayer c’est les adopter. Et un converti de plus et un ! 😉

Exemple du collier électrique

Le collier électrique pour éduquer le chien, là, si je ne me retiens pas, je vais écrire 8 pages, mais pour faire court, expliquez que la douleur n’a pas de vertu éducative et que le collier électrique peut causer des troubles de comportement bien plus graves que ceux qu’il est sensés arranger. Vous pouvez informer, malheureusement certaines personnes ne changeront pas d’avis. Dites lui que vous n’y connaissez rien et de poser la question sur un groupe d’éducation positive sur les réseaux sociaux (je plaisante… ou pas… ou si… ou j’hésite :p)

Exemple du collier électrique en anti écrasement : ça reste la solution la moins pire, et ça vous pouvez lui dire. Mais vous pouvez aussi ajouter « Si tu veux je peux venir le weekend prochain t’aider à clôturer un espace pour les chiens en attendant une solution plus pérenne » (vous irez voir tata Jeanine une autre fois)

Exemple de la cage

« Je comprends que tu veuilles mettre Milou en sécurité, moi aussi je ne me sentirais pas bien si j’allais travailler en aillant peur qu’il dévore la maison et s’empoisonne. As tu déjà appris à un chien à aller dans sa cage ? » et puis on complète « Qu’as tu prévu pour lui apprendre à supporter la solitude ? ». Vous pouvez aussi expliquer que si une émotion ne peut plus s’exprimer d’une façon (en mangeant les meubles) il est très probable qu’elle finisse par s’exprimer autrement (par des aboiements par exemple). et là on passera à une autre gamme de problèmes avec les plaintes des voisins… La cage fait la mise en sécurité mais ne règle pas les problèmes d’anxiété de séparation ou d’ennui.

Quand le plan B s’impose…

Parfois, il faut un plan B. Ce n’est pas une option. Et le plan A ne doit surtout pas être exécuté.

Exemple vécu : « je vais acheter une muselière en tissu pour mon chien comme ça il ne pourra plus aboyer et les voisins arrêteront de se plaindre ». Il faut savoir qu’une muselière serrée au point de ne pas permettre d’aboyer empêche aussi le chien de ventiler et donc de se rafraichir. En cas de chaleur, le chien peut tout simplement en mourir (certes, ça règle les problèmes d’aboiement…).

On est donc sur un « pronostic vital engagé ». Et je ne vous parle même pas de l’état émotionnel du chien qui ne peut plus aboyer, ne peut plus s’occuper avec des jouets ou en machouillant… ah si il peut encore creuser… enfin tant qu’il arrive à respirer… Qu’il aboie par ennui ou par mal-être, cette « solution » est une catastrophe.

Alors oui, directement, on va informer du danger de mort. Sortez les sites web les articles flippants, vous avez le droit, il y a urgence. Mais sortez surtout votre tact et votre diplomatie. Si vous ne le faites pas pour l’humain, faites le pour son chien.

Si dans ce cas on arrive à passer au collier qui pshit en cas d’aboiement, on est déjà sur du mieux, les changes de survie du chien se sont grandement améliorées. Les problèmes d’aboiement sont souvent liés à une urgence par rapport aux voisins : souvent ils se plaignent quand ils n’en peuvent plus et demandent à ce que le silence soit rétabli immédiatement, ce qui est presque impossible. La loi permet au chien de s’exprimer un peu mais c’est très limité. Un rendez-vous avec un éducateur idéalement, un tuto sur comment apprendre au chien à ne pas aboyer… Tout mais pas la muselière. Si besoin, cherchez à obtenir moins pire et éventuellement prévoyez un deuxième passage pour avoir du mieux et un dernier pour enfin convaincre de prendre la bonne solution.

Et parfois on n’a même pas demandé de plan A !

Si vous avez un chien qui tire en laisse, qui aboie, qui saute, qui détruit, qui se sauve… vous attirez probablement vous aussi les commentaires bien pensants de gens bien intentionnés qui souhaitent vous aider. Chez vous, et même pourquoi pas dans la rue, des gens avec des chiens ou même de parfaits inconnus qui vont vous propose la solution miracle. Et peut être faites vous partie de ces gens bien intentionnés.

Comment le prenez vous quand on vient vous dire comment faire ? un petit « il se mêle de quoi celui là ? » peut-être ?

Très honnêtement, ça m’arrive encore de le faire. Les deux derniers exemples qui me viennent à l’esprit c’est le chien qui est en danger (chiot sans laisse dans une zone avec beaucoup de voitures) ou quand le chien représente un danger (un chien qui fonce sur les miens, sachant que Houston n’aimait pas les rencontres frontales). Et je le ferais aussi si je constate de la maltraitance, un chien coincé au soleil en voiture…

Mais pour un chien qui tire (grand classique de la balade) ou qui saute… avez-vous votre mot à dire ? Dans le même esprit que précédemment, si vous ne pouvez pas vous en empêcher, je vous invite à ouvrir le dialogue et, délicatement, à faire de petites suggestions. Laissons nos gros sabots au vestiaire.

A l’inverse, le gars qui vient me voir et qui me sort « faut mettre un coup sec ma ptite dame, dès qu’il tire pan on lui fait comprendre qui est le patron. Passez moi la laisse je vais vous montrer. » y a des chances que personne retrouve son corps au fond des bois… Le chien il est gentil, la ptite dame faut se méfier… Comment ça ? Je n’ai pas le droit… Bon et bien je vais tenter d’être une Grande Dame et de le débouter avec courtoisie. « Je vous remercie de vouloir m’aider, c’est gentil de votre part mais j’ai choisi une approche différente pour éduquer mon chien » (par contre s’il me dit qu’il a eu 8 chiens et qu’il a 46 ans, qu’il sait de quoi il parle et qu’il insiste, vous êtes surs que je ne peux pas l’empailler ?)

Et tu penses t’en sortir sans reparler de la pension ?

Non non, j’arrive j’arrive.

Le petsitting sans formation ni ACADED ou CCAD est illégal. Tout comme le travail non déclaré. Ils constituent une concurrence déloyale face aux pensions qui doivent respecter de gros cahiers des charges pour être dans les règles et peuvent être inspectées par la DDPP à tout moment.

Et là, je dis ça et vous vous ennuyez déjà.

Alors si le cas se présente, je vous demanderais pour combien de temps vous partez, qui vous laissez à garder, s’ils ont déjà été en garde et quel est votre budget. Je vous dirais que personnellement ma préférence va aux pensions familiales où les chiens ne sont pas en box toute la journée. Si vous tenez toujours à passer par un site, je vous donnerai le peu d’informations que j’ai sur le sujet. Lisez bien les conditions générales de vente, les questions d’assurance. Regardez ce qui est demandé pour devenir petsitter. Si vous décidez de passer par là, échangez avec celui ou celle qui gardera votre animal. Regardez s’ils sont bien notés si le site le permet… En fonction du tempérament de votre chien ou de ses besoins spécifiques, j’insisterai surement plus ou moins sur les autres modes de garde ou que je vous dise clairement que ce n’est pas fait pour votre chien. Après, chacun fait de son mieux avec les informations et les moyens qu’il a.

En conclusion

Je vous parle du plan A et du plan B dans le monde canin mais ça fonctionne aussi en dehors. Combien de fois dans un mois tombons-nous dans le piège ? Souvent nous sommes pleins de bonnes intentions mais nos propos ne disent pas la même chose. Pour conclure, je vous encourage à prendre le temps d’écouter. Posez des questions, dialoguez, retrouvez le besoin qui est derrière la question. Essayez de bien répondre avec un plan A, si besoin glissez une ouverture vers un plan B et s’il le faut vraiment prenez le temps de faire comprendre que le A n’est pas viable en proposant un bon plan B à la place.

Qu’est-ce qu’un bon plan B ? me direz-vous. C’est un plan pour lequel on a laissé de côté sa première idée le temps de laisser s’exprimer l’autre et de lui proposer une solution vraiment adaptée à ses besoin. Tous les humains sont différents. Tous les chiens sont différents. Et pareil pour les duos/familles qu’ils forment ensemble. Seule l’écoute nous permet de faire des propositions qui leur correspondent vraiment.

Je tiens à m’excuser auprès de mon stagiaire qui tente de faire le référencement de mon site pour cet article qui ne vise aucun mot clé cohérent avec une quelconque stratégie, mais ça a fait du bien de l’écrire ! Promis je vais en rédiger des plus efficaces ! Un jour je bosserai pour l’argent ou la gloire… ou pas en fait… désolée encore :p

Le plan A et le plan B

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